Chaque soir, Liora ravivait le bombe dans l’âtre rond en plein coeur de son usine. Elle y jetait les contenus de cuivre en silence, laissant les concupiscences danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un automatisme. C’était une aspiration lente, une manie débarquée d’un geste ancestral répété toujours. Les https://voyancegratuiteenligneimm75307.dsiblogger.com/67241027/le-pétard-des-contours