Sur l’île solitaire d’Ankhyra, baignée par la luminosité doré du crépuscule, la prêtresse Callista s’agenouillait au domaine de la falaise, fouillant l’horizon intégral. Chaque nuit, elle attendait le chant des voix venues des creux de la vague, ce murmure marin que seule elle pouvait se plaire. Ces mélodies contradictoires, tissées https://jolie-voyance01233.vidublog.com/32883484/le-motet-des-sirènes-muettes