Tokyo brillait marqué par les néons, un réseau de lumières pulsantes qui reflétaient la cadence ininterrompue des recueils de data circulant dans l’infrastructure numérique de la commune. L’ingénieur observait les flux d’informations défiler sur son écran, chaque individu analysé, disséqué, converti en probabilités. Son liaison artificielle, baptisée Oracle-9, était la https://felixkuaei.blogoscience.com/40130346/l-algorithme-de-l-invisible