Le calme pesait sur l’abbaye comme un suaire. Le vent qui s’infiltrait par les fissures des murs semblait enfiler des murmures indistincts, tels que si la pierre elle-même conservait la évocation des âmes disparues. Le moine restait prostré destinées à le manuscrit, sa aspiration saccadée, les main crispées sur le https://codyriyly.pointblog.net/le-bord-du-destin-77410424