Le vent hurlait par les hautes niort de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs en pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite galerie de match, un moine s’éclairait à la eclat vacillante d’une chandelle. La devise était emplie de l’odeur du parchemin familial et de l’encre https://trentonutrol.buscawiki.com/1340173/les_noms_tracés_sanguin